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Fier symbole d’une existence où la lenteur le dispute à la réflexion, où la paresse se fait éveillée et l’ennui fécond.
Puisque qu’on ne fait rien sur un transat, cela laisse le temps pour le reste. Et le reste ne manque pas :
on réfléchit beaucoup sur une chaise longue, on imagine, on rêvasse. On y échafaude, on y bâtit sur de solides fondations des châteaux en Espagne, en Italie, où ailleurs, on y conçoit des stratégies, on y griffonne des incipit, on y peaufine des théories, on y tire des plans sur la comète, on y volette, tranquille, de planète en planète, sans quitter pour ma part l’ombre des arbres du jardin et le bord de la piscine.
Je le pratique avec assiduité ce précaire assemblage de toile et de bois qui dispense de multiples bienfaits,
à commencer par celui-ci, essentiel,le repos de l’âme et du corps.
Incarnation d’un idéal, prendre son temps sans peur de le perdre, sans soucis de rendement ou d’efficacité, navigation à vue sur des océans de paresse.
A bientôt !
(La pause estivale se prolonge, mon transat en est un peu responsable...)
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Coucou jeune fille...:-) un cadeau à savourer depuis ta chaise longue..
Une photo, une date,
C'est à n'y pas croire,
C'était pourtant hier, mentirait ma mémoire
Et ces visages d'enfants, et le mien dans ce miroir
Oh, c'est pas pour me plaindre, ça vous n'avez rien à craindre
La vie m'a tellement gâtée, j'ai plutôt du mal à l'éteindre
Ô mon Dieu, j'ai eu ma part
Et bien plus à tant d'égards
Mais quand on vit trop beau, trop fort, on en oublie le temps qui passe
Comme on perd un peu le nord au milieu de trop vastes espaces
À peine le temps de s'y faire, à peine on doit laisser la place
Ô si je pouvais
Encore un soir, encore une heure
Encore une larme de bonheur
Une faveur comme une fleur
Un souffle, une erreur
Un peu de nous, un rien de tout
Pour tout se dire encore ou bien se taire
Un regard, juste un report
À peine encore, même s'il est tard
Si j'aimais rien demandé, ça c'est pas la mer à boire
Allez, face à l'éternité, ça va même pas se voir
Ça resteras entre nous, ô juste un lèger retard
Y'en a tant qui tuent le temps
Tant et tant qu'ils le perdent ou le passent
Tant qui se mentent inventant les rêves
En des instants de grâce
Ô je donne ma place au paradis
Si l'on m'oublie sur Terre
Encore hier
Encore un soir, encore une heure
Encore une larme de bonheur
Une faveur comme une fleur
Un souffle, une erreur
Un peu de nous, un rien de tout
Pour tout se dire encore ou bien se taire
Un regard, juste un report
À peine encore, je sais, il est tard
C'est pas grand-chose, rien qu'une pause
Que le temps, les horloges se reposent
Et caresser juste un baiser, un baiser
Encore un soir, encore une heure
Un peu de nous, un rien de tout
Un soir....
https://youtu.be/9bLD0tVep9M
Rédigé par : Christine | 09/08/2016 à 02:00
Transats amoureux...
Rédigé par : mélanite | 11/08/2016 à 02:00
belle trouvaille...
Rédigé par : double je | 12/08/2016 à 02:00
je savoure...
merci , bises
Rédigé par : double je | 12/08/2016 à 02:00
La pause permet de regarder, voir, et se souvenir....
Je t'embrasse Elisanne.
Je suis avec mes tous-petits, à tour de rôle, ce qui ne me laisse pas beaucoup de temps pour moi.
Den
Rédigé par : Den | 13/08/2016 à 02:00
Coucou Den,
les miens viennent de rentrer de Corse,
demain enfin nous serons à nouveau tous ensemble pour partager un déjeuner au jardin à treize !
après la rentrée se profile, encore 15 jours à savourer.
je t'embrasse
Rédigé par : double je | 14/08/2016 à 02:00