Je ne suis jamais aussi sincère que lorsque je suis dans le rêve, l’anticipation bénie de la réalité. Jamais aussi spontanée,limpide, chatoyante, que dans l’imaginaire de la rencontre. Quand il n’y a encore rien et que tout est déjà là, dans la palpitation émue d’un présent qui ose s’inventer. Le chemin alors s’ouvre sur une libertéincandescente, rayonnante. Les mots dansent, s’agrandissent, viennent se déposer au gré de mes attentes. Ils ont la grâce, l’élégance de l’enfance, celle naturelle qui dessine ma féminité. Ils deviennent spécialistes de l’amour, ils savent décrire les émerveillements, les soleils et les scintillements bleus. Mais aussi les pièges, les violences et les malentendus…
crédit photo Chris Everard
Commentaires
Voyage intérieur…
Je ne suis jamais aussi sincère que lorsque je suis dans le rêve, l’anticipation bénie de la réalité. Jamais aussi spontanée,limpide, chatoyante, que dans l’imaginaire de la rencontre. Quand il n’y a encore rien et que tout est déjà là, dans la palpitation émue d’un présent qui ose s’inventer. Le chemin alors s’ouvre sur une libertéincandescente, rayonnante. Les mots dansent, s’agrandissent, viennent se déposer au gré de mes attentes. Ils ont la grâce, l’élégance de l’enfance, celle naturelle qui dessine ma féminité. Ils deviennent spécialistes de l’amour, ils savent décrire les émerveillements, les soleils et les scintillements bleus. Mais aussi les pièges, les violences et les malentendus…