En relisant hier soir « La mort heureuse »
j’ai relevé cette phrase qui m’interpelait et en même temps m’apaisait…
[…]Le ciel là-haut tombe de toute sa hauteur avec son poids de soleil et de couleurs .
Les yeux fermés, Catherine éprouve la chute longue et profonde qui la ramène au fond
d’elle-même, où doucement remue cet animal qui respire comme un dieu . […]
Albert Camus , in « La mort heureuse »
page109 ,Folio 4998
crédit photo Helmut Newton