Elle se lève, ravive les braises, met l’eau à chauffer dans la bouilloire,
prépare les verres,les théières, sort le pain de sucre d’un sac […],
le casse à petits coups secs avec le martelet de cuivre […].
Elle verse le premier verre de thé bouillant,le hume en faisant claquer ses lèvres charnues;
elle ferme à demi ses yeux de gazelle passés au khôl.
Roger Frison-Roche , in “La piste oubliée “
Envie de partager le thé de l’amitié fumant et bouillant avec vous
et oublier la grisaille et la pluie d’aujourd’hui.
crédit photo Alain Sèbe