Une vague d’amour dans un océan d’amitié,
se perdre dans la vague, se laisser submerger, ne rien attendre,
ne rien choisir, tout prendre.
Inlassable marée dont la vague sur la grève laisse des traces
trop vite effacées par la vague suivante.
Qu’importe le temps, qu’importe le vent, le bonheur est un combat de chaque jour.
Archipels d’instants heureux, entre les îlots, errance et solitude.
Réinventer toujours pour que l’amour gagne sur les rancunes amères,
sur les larmes, sur le deuil.
Retrouver les gestes de la douceur, les mots qui bercent comme les vagues
avant que la houle à nouveau ne se lève
et n’abandonne les coquillages à la laisse de la mer.
crédit photo Philippe Charpentier