J’aime ces journées d’été,
ces moments qui s’étirent dans une élasticité du relâchement .
Ces journées comme une grande parenthèse, un soupir, une page blanche,
un souffle doux et chaud.
Un silence qui me porte et me transporte et finalement me fait voyager plus loin que n’importe quel avion.
Le soir venu je traîne un peu de peur de rompre cet équilibre ,
alors je plonge dans les bras de morphée, merci la nuit,
à demain.