Il faisait chaud et lourd dans ce muse noir de monde.
Miguel commenait fatiguer et se demandait ce qu’il tait venu chercher l, un soir de nuit des lumires
L’ambiance cependant tait ferique, de ci de l des bougies flottaient dans des vasques et confraient au lieu une ambiance irrelle.
Mais Miguel tait ailleurs, visitait un autre muse non pas imaginaire mais l où il avait envie d’tre en ce moment prcis.
Il se mit rver, lui l’homme passionn, amateur d’art, de jolies femmes.
Au dtour d’une alle il sentit une prsence, un parfum.
Il s’approcha doucement et la reconnut.
Elle tait donc venue, c’tait bien elle.
Elle regardait avec admiration un « Nicolas de Stal », devisait avec ses amis et ne le vit pas tout de suite.
Son regard croisa le sien, et son tour elle comprit que c’tait lui.
Dans ce regard il vit toute la tendresse que cette femme offrait et comprit
" Bien sûr que plus il donnait plus il recevait "
Mais qu’avait-il lui offrir, un homme soucieux, trs occup par son travail.
Il tait drout par elle, ne savait comment s’y prendre, avait peur de ne plus savoir surprendre.
Alors la phrase que son pre lui rptait sans cesse lui revint:
"La chance est un fruit , elle ne supporte aucun excs"
Atelier d'criture
Les contraintes taient nombreuses, mots imposs;
Il s’approcha doucement et,
bien sûr plus il donnait, plus il recevait
terminer le texte avec:
la chance est un fruit , elle ne supporte aucun excs