Rcit d’une journe d’apprentissage en communication.
(Non, ne cherchez pas, ce n’est pas un atelier d’criture)
Je suis responsable de la communication dans le cadre de mes activits extra professionnelles, une petite chelle, celle de mon dpartement.
Dans le cadre d’une formation, un groupe constitu de huit personnes venant de divers horizons et des quatre points cardinaux, runis aprs avoir t formes au pralable par de grands professionnels, journalistes, rdactrice en chef d’un mensuel pour jeunes adultes etc.…pour affronter les interviews radio, prparer les dossiers de presse…
Nous sommes ensemble nouveau pour nous frotter l’audio-visuel.
Ce jour-l je fis la connaissance d’un journaliste de talent, homme gnreux qui bnvolement avait accept cette mission.
Il est LCI responsable de l’International et prsente « Un jour dans le monde » et « L’hebdo du monde » magazine de socit.
Chaque fois que je le vois dans la petite lucarne, j’ai un sourire et pense cette journe que nous avons passe ensemble apprendre les rudiments, les petits secrets, les piges viter lors des questions poses par les journalistes.
Savoir m’imposer et non aller dans le sens que souhaite donner l’interviewer qui cherche trs souvent se faire valoir et s’occupe trs peu de son interlocuteur.
J’ai eu droit au maquillage, ce fond de teint qui donne bonne mine face la lumire aveuglante des studios, des conseils sur les couleurs des vtements adopter, les bijoux viter, les phrases reformuler.
Etre face la camra ce n’est pas vident, et se faire interviewer par Vincent H… qui a rencontr les plus grands de ce monde assez intimidant.
Mais sa gentillesse aidant cela devint assez simple.
Puis, visionnage avec tout le groupe, critiques et compliments.
Il m’a fait parler de moi, de l’attaque main arme que j’ai subie lors d’un voyage, raconter ma peur, dire que j’avais t dpossde de tout, qu’il ne me restait plus d’argent mme pour boire un pot…
- mais comment avez-vous fait pour payer par la suite ?
Et moi de lui rpondre du tac au tac
- avec mes larmes…
Il a aim cette chute et m’a encourage en me disant qu’il n’avait aucune crainte pour moi, que j’arriverais toujours trouver le mot de la fin.
Ce jour-l, moi qui coute les autres, j’ai t coute avec beaucoup d’attention et de gnrosit.