L’inaccessible soif dans un regard perdu
Le silence cri
Pour une parole nie
La douleur dchirure
Pour une plainte tue
L’coute interdite
Dans une fatigue-inquitude
Et pourtant j’ai toujours su
Ta solitude
Ouverte aux cris de l’imaginaire
Dvoreurs de prsence
J’ai toujours su
Ta souffrance
A la dchirure des absences
Les blessures caches
Par où s’coulaient les trop-pleins d’amour
J’ai toujours su
Tes combats invisibles
Où se perdaient les possibles
Et se brisaient les futurs.
J.S