J’ai horreur des hypermarchs, je prfre de loin le commerce de proximit, tre reconnue, bien que je sache que ces sourires n’ont rien d’authentique, mais je prfre cette hypocrisie l’indiffrence des grandes surfaces.
Quoi de plus anonyme qu’une grande surface, se retrouver seule dans la multitude, il n’y a pas mieux. Il n’y a qu’ entendre les conversations changes entre des personnes qui se rencontrent :
–bonjour, vous allez bien ?
_il ne fait vraiment pas beau, il est pourri ce printemps… etc.…
-et puis le fameux « on se tlphone… »
Ce qui me rvolte et me gne c’est de voir ces femmes exploites, tenant des stands promotionnels, offrant leur sourire aux chalands pour permettre d’augmenter le chiffre d’affaires.
Et encore ces femmes d’un ge certain, le regard vide, travaillant aux caisses, obliges de continuer pour assurer pniblement leur revenu et permettre d’obtenir la maigre retraite laquelle elles « auront droit ».
Non dcidment j’ai gch ma matine en allant faire mes courses.
Mais qu’elles sont bonnes les cerises de l’hypermarch !!!