Mon geste de ce matin en mettant l’article n’est pas anodin, il a fait remonter en moi ce qui va suivre.
Dans le cadre d’une coute, j’ai t le tmoin anonyme d’une rvlation que j’ai reue et qui ce jour encore laisse des traces en moi.
Rvlation n’est pas le mot juste, cet homme cherchait juste se dgager de l’acte criminel qu’il venait de commettre cette nuit-l.
Voil ce qu’il me dit :
-cette nuit je dormais chez des parents et leur petite fille de huit ans est venue vers moi
-moi j’ai pris cela comme une invite, je l’ai touche et abus d’elle
-je l’ai prie de ne rien dire ses parents, c’est un secret entre nous
-dites-moi combien de temps peut-on dtecter le sperme… ?
-aprs 24 heures il n’y a plus de risque, on ne voit plus rien ?
Son seul questionnement tait la peur du gendarme, aucune pense pour cette petite fille qui cette nuit-l a bascul dans l’enfer !
Ces mots resteront gravs jamais dans ma mmoire et toujours me font mal, je pense elle, lui jamais.
Si ! J’ai t soulage le jour où par l’intermdiaire d’un fait divers paru dans le quotidien, j’ai lu qu’il avait t puni par la loi, les parents ayant port plainte.