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03/02/2016

Commentaires

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Christine

Bel hommage à cette vie que nous aimons tant et qui ne dure pas plus que durent les roses...
...."Si tu crois petite, xa va xa, va xa ...va durer toujours la saison des za..la saison des za....saison des zamours..."

J'aime beaucoup la joie et la pureté qui se dégagent des tableaux de ce Mr Klimt..

Bises et belle journée jolie dame !

Amx

....mais saura-t-on les reconnaître.....ces passantes ?

https://m.youtube.com/watch?v=WJ9ahN4mPHw

Bon vent.....celui qui ne fait que passer ...si on n'a pas décidé de le suivre en l'emprisonnant un peu dans la grande voile !!!

double je

en écrivant le mot" passante" je pensais à la chanson de Brassens...
je pense, non je suis sûre, que l'on reconnait ces passant/es !

Ici, aujourd'hui, on pourrait hisser la grande voile, il souffle le bigre...

double je

Moi je suis naïve, j'y crois...à la saison des z'amours...
tu me fais sourire avec le mot pureté concernant Klimt, un peu moins pur ces dessins érotiques que j'aime beaucoup et que j'ai eu l'occasion de contempler lors d'une expo parisienne,silence monacal dans les salles, comme si on n'osait exprimer ce que l'on ressent en les regardant.
Bises, ici pas d'embruns, mais de la pluie, temps à sortir le ciré.

Christine

ici grand soleil et ciel immensément bleu...
ouvre la fenêtre regarde il arrive vers toi à grand pas... je souffle très fort...
si...si.....:-)

Christine

Quelle belle chanson de Brassens que sont ces "PASSANTES" !
quand je lis ces paroles j'ai envie de pleurer.

double je

Je peux comprendre ton émotion, il y a tant de choses dans ces mots...
te souviens-tu de ce beau film de Jaoui et Bacri "Parlez-moi de la pluie" dont le leitmotiv musical était l'air des" Passantes" interprété par une fanfare cubaine ?
Bonne nuit, moi aussi j'ai les yeux embués.

Christine

http://www.youtube.com/watch?v=1QBAX6RmszIfeature=youtube_gdata_player

Merci de m'avoir rappelé ce film...
bises et bon vendredi.

Valérie

Ces phrases de René Char sont si justes...
Chez Klimt, il me semble que les 'contraires', les 'lointains' se rejoignent en Un.
Le temps d'une œuvre, les distances sont abolies.
Ce cumul est alors à la fois si pur et si trouble.
C'est une dualité intéressante qui transpire.
Merci pour toutes vos passerelles Elisanne.
Elles me font du Bien.
Pensées
Valérie

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