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"Notre vie est un livre qui s'écrit tout seul. Nous sommes des personnages de roman qui ne comprennent pas toujours bien ce que veut l'auteur."
Julien Green, Journal
Alors j'écris, en laissant envahir la page d’une encre qui vient de l’âme, une lente mélopée mouillée d’un murmure presque inaudible. J'écris l'ombre et la lumière, l'eau et le feu, la faim et la soif. J'écris les miettes inquiètes de ma tendresse, l'émotion de l'imprévu. J'écris à l'eau de mes pleurs, au vent de mes sourires, aux feux de mes peurs, aux nuits de mes désirs J'écris les cents détours des jours, le cri des étoiles, le soleil d'un frémissement,le scintillement d'un rêve échappé au chaos de la nuit. Mais j'aimerais, écrire un poème sans structure, sans rimes, sans autre histoire que le plaisir de s’y abandonner. Ecrire des bribes, des lambeaux de brume Ecrire un poème comme un conte extasié, un rayon de soleil, une étoile au firmament. Ecrire le souffle de la liberté, du plaisir. Ecrire la douce nostalgie qui ouvre une fenêtre sur l’avenir. Ecrire les mots qui libèrent, les mots qui ne m’appartiendraient pas, qui m’échapperaient, qui se débarrasseraient de moi.Rédigé à 18:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Notre vie est un livre qui s'écrit tout seul. Nous sommes des personnages de roman qui ne comprennent pas toujours bien ce que veut l'auteur."
Julien Green, Journal
Alors j'écris, en laissant envahir la page d’une encre qui vient de l’âme, une lente mélopée mouillée d’un murmure presque inaudible. J'écris l'ombre et la lumière, l'eau et le feu, la faim et la soif. J'écris les miettes inquiètes de ma tendresse, l'émotion de l'imprévu. J'écris à l'eau de mes pleurs, au vent de mes sourires, aux feux de mes peurs, aux nuits de mes désirs J'écris les cents détours des jours, le cri des étoiles, le soleil d'un frémissement,le scintillement d'un rêve échappé au chaos de la nuit. Mais j'aimerais, écrire un poème sans structure, sans rimes, sans autre histoire que le plaisir de s’y abandonner. Ecrire des bribes, des lambeaux de brume Ecrire un poème comme un conte extasié, un rayon de soleil, une étoile au firmament. Ecrire le souffle de la liberté, du plaisir. Ecrire la douce nostalgie qui ouvre une fenêtre sur l’avenir. Ecrire les mots qui libèrent, les mots qui ne m’appartiendraient pas, qui m’échapperaient, qui se débarrasseraient de moi.Rédigé à 18:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
Tout ce qui nous émeut, tu le partages. Mais ce qui t'arrive, nous l'ignorons. Il faudrait être cent papillons pour lire toutes tes pages.
Il y en a d'entre vous qui sont comme des dictionnaires; ceux qui les cueillent ont envie de faire relier toutes ces feuilles. Moi, j'aime les roses épistolaires. Les roses XVIII Rainer Maria RilkeRédigé à 15:51 | Lien permanent | Commentaires (0)