"Double je"

Je viens de revoir

Je viens de revoir  le magnifique film de
                   Wong Kar Wai  " In the Mood for love " 

et je ne peux m'empcher de vous livrer mes impressions, je suis encore sous le charme ...

Un conte d’amour et trahisons dans la Hong Kong des annes  60.

L’histoire d’un amour avort, la solitude, la difficult d’exprimer ses sentiments, le temps qui passe et les souvenirs qui restent.

Film riche et complexe la mise en scne sublime et sensuelle, qui me fait penser un ballet, les corps s’aimantent et se sparent et l’interprtation quasi fline du couple est exceptionnelle.

 

Cette rencontre d’un homme et d’une femme qui cherchent des rponses des questions simples sur l’amour, la blessure lie l’infidlit, les origines d’une rencontre et le regret.

 

Ce film  dcortique les stratgies de sduction entre les deux personnages en ne s’attachant qu’ l’essentiel, toutes ces petites choses anodines qui sont le ferment de la passion rotique.

Regards subrepticement changs dialogues double ou triple sens, frlements quivoques.

 

C’est un de ces films qui longtemps aprs dans la mmoire de nos sens nous rvle un peu plus de nous mmes.

P.S

On pourrait rajouter que le parti-pris de la lenteur, qui se noue jusque dans les volutes de fume des cigarettes, ajoute la sensualit diffuse et tenace. Que le choix des lumires et des couleurs chaudes, sang et or, cajole les sens. Et puis cette musique, qui nous prvient que l'amour ne peut tre que lger et grave la fois...

 j'avais dj poste cette note en mai quand j'ai vu le film pour la seconde fois et le  p.s  tait un commentaire dpos par R.

Je viens de revoir

Passion

 "Agnolo  Bronzino " 1540 
  Portrait de Lucrezia Panciatichi
  Galerie des Offices Florence

Passion
C’est le constat d’une folie
D’un mal trange et doux
Qui me fait m’attacher
Sans mesure…
Ce sont les mouvements du cœur
Du corps souffrant ou riant
Alchimie secrte des motions

Passion

Emportement d’une croyance

Plus forte que l’vidence des jours
Aperu d’ternit

Qute, voyage, rve

Peu importe
Porteuse d’un moi plus grand

Ouverte sur des enchantements.

 

Passion

Histoire de gteaux...histoire de solidarit

Petit Lu vers Nantes, Petit Brun Grenoble jamais disparus avec leurs parfums lourds d’odeurs les jours d’orage, petits gteaux aux amandes dans les arrires fonds des salons de th chinois aux yeux briss…et de gingembre de Nol, que ctoient d’tranges ptes vertes et blanches qui collent et poissent mes crans mais il faut bien que la Chine s’veille.

 

Paris-brest, a fait TGV, la madeleine de Proust Cabourg plonge dans l’oubli et les oubliettes, baiser poudr c’est plus Orient Express l où partent les religieuses et nonnettes Rome, Tiramissu dans le Japon profond où profitent (rolles), parmi les palmiers et les cornes de gazelles, les mille-feuilles toujours baba qui se crpent le chignon au rhum pour un sige au conseil d’administration. Crumbles, dlicieux aux pommes de trois couleurs et la vanille cannelle.

Strudels et gteaux des salons de th de Wien et au fromage blanc touffe-chrtien dans les quartiers juifs.

 

Premier prix pour un gteau bnvole libre, arien, de qualit, humanitaire, sans contrainte et qui fasse plaisir aux autres, gratuit videmment pour les restos du coeur, un gteau solidaire qu'on mangerait entre soi et les autres sans le dpartager, un gteau miraculeux qui se multiplierait l'infini.

 

Histoire de gteaux...histoire de solidarit

je vous ai entendu et cout !!!

                                                           "Voutch"


Ah, mon dieu ! Je suis perdue !

L'Amour avec un grand "A" !



En suivant vos conseils voil le rsultat, il a tout, la voix, les mensurations...
ouh...je me sauve...

je vous ai entendu et cout !!!

Agressivit...

Quand je ne vais pas bien, je suis agressive...
Un rien m'exaspre, j'en veux la terre entire ,
je sais, je devrais  retourner cette agressivit  contre moi.
Ce n'est qu' moi que je peux en vouloir.
Mais voil je me donne les" btons pour me faire battre."

C'est idiot je le sais, mais comment faire pour ne pas tomber dans ce travers ?...

Vous avez une solution ?  Je suis preneuse !!!

Ouf !!! ce n'est pas rien de le dire....respire...

Agressivit...

Votre voix en dit long…

 

…sur votre sexualit. A l’universit d’Albany aux Etats-Unis, des tests effectus sur de cobayes ont montr que ceux dont la voix est perue comme "rotique " sont aussi ceux qui ont " la vie sexuelle la plus active " et " les mensurations les plus sduisantes ".

Dans un pass trs lointain, ces personnes trs actives sexuellement taient de " bons producteurs ", capables, grce leur bel organe, de se reconnatre mutuellement et de s’accoupler dans le noir des cavernes pour le plus grand bien de l’humanit

Voil j'avais envie de vous faire partager ce petit brin de voix...
pour adoucir la premire note de la journe...

 

Soure " Evolution and human Behavior"  septembre 2004

 

Votre voix en dit long…

VIOLENCE...

Si je poste cette note c'est en cho la note  de lysp ...

du mardi 30 novembre "viols"

http://www.u-blog.net/lesyeuxsanspaupieres

 

 

Dans le cadre d’une coute, j’ai t le tmoin anonyme d’une rvlation que j’ai reue et qui ce jour encore laisse des traces en moi.

Rvlation n’est pas le mot juste, cet homme cherchait juste se dgager de l’acte criminel qu’il venait de commettre cette nuit-l.

Voil ce qu’il me dit :

-cette nuit je dormais chez des parents et leur petite fille de huit ans est venue vers moi

-moi j’ai pris cela comme une invite, je l’ai touche et abus d’elle

-je l’ai prie de ne rien dire ses parents, c’est un secret entre nous

-dites-moi combien de temps peut-on dtecter le sperme… ?

-aprs 24 heures  il n’y a plus de risque, on ne voit plus rien ?

Son seul questionnement tait la peur du gendarme, aucune pense pour cette petite fille qui cette nuit-l a bascul dans l’enfer !

Ces mots resteront gravs jamais dans ma mmoire et toujours me font mal,  je pense elle, lui jamais.

 Si ! J’ai t soulage le jour où par l’intermdiaire d’un fait divers paru dans le quotidien, j’ai lu qu’il avait t puni par la loi, les parents ayant port plainte.

 

VIOLENCE...

La maladie d’amour…

Sade, Freud, Nietzsche

Trois gnies, trois hommes pas forcment faciles vivre. Et qui ont t aims peut-tre au-del du raisonnable…

J’ai envie de vous parler des  livres dcouvrir voquant  ces femmes qui ont aim ces hommes…

 

 Rene Plagie marquise de Sade 
 de" Grard Badou"

 Martha F.   de "Nicolle Rosen"

 Friedrich Nietzsche travers ses œuvres 
 de " Lou Andras-Salom"

 Lou Andras-Salom  de " Yves Simon"

 

La premire qui durant des annes au mpris de sa sant, dlaissant mme ses enfants,  Rene Plagie va soutenir, secourir, se battre pour le « divin marquis »
Elle ira jusqu’ acheter le silence des prostitues ou se dguiser en homme pour tenter de faire vader Donatien.
Et que recevra-t-elle en change ? Rien ou si peu.
Elle aura consacr sa vie un homme obsd par son propre plaisir, indiffrent aux souffrances de ses proches.

 

« Martha Freud » l’pouse du grand Sigmund dont on
ne sait pas grand-chose tant elle s’est efface derrire son conjoint, cette femme exemplaire oublie par l’histoire, Nicolle Rosen, elle-mme psychanalyste fait revivre sa voix dans une confession mouvante.

Si Freud ne partageait pas les fruits de son travail avec son pouse, il n’en fut pas de mme avec l’grie la
plus clbre de l’poque moderne.
Lou Andras-Salom.
Il tait tomb sous son charme, bloui par la vivacit d’esprit de celle qu’il appelait
 « la compreneuse par excellence »

Avant Freud " Lou " avait dj fascin, entre autre, Rilke, Schnitzler, Hofmannsthal ou Nietzsche.

Personnalit incroyablement sduisante.
A en perdre la tte…

La maladie d’amour…

Silence...

                                                         " Bretagne"      Roger Mühl
                 
                                                                                

Je me languis de toi

J’ai laiss ce soir

L’exil prendre la place
J’ai perdu ce soir
L’insouciance
Ce silence me pse

Les mots que l’on ne dit pas

Sont les fleurs du silence

Dans ces silences

On peut dire tant de choses

Ces silences qui blessent

Plus sûrement qu’une injure

Ces silences ont si souvent

Le poids des larmes

Ce silence qui lui-mme

A quelque chose dire

Mais de ce silence

Je veux croire

A la plus belle pense

De ton amour.

 

     Citation : 

« Je suis plein du silence assourdissant d’aimer »
                                                                   Aragon

Silence...

Conte de Nol...

Atelier d’criture…
thme :   inventer un conte de Nol pour les enfants….

 

Le bois crpite, les flammes dansent, belle ambiance qui annonce Nol. Tous les enfants sont l assis sagement et attendent que papa comme chaque soir leur raconte une histoire.

« Il tait une fois un pauvre homme qui travaillait dans les champs pour nourrir sa famille. Il avait quatre enfants mais celui qui lui crait le plus de soucis tait le 
«  petit Tom » qui ne pouvait pas marcher, ses jambes refusaient de le porter.

Dans le chteau voisin habitait une belle princesse, son pre tait le Seigneur, tre froid, mchant, il faisait travailler ses ouvriers en leur donnant juste de quoi vivre d’une soupe chaude  par ce froid mordant de l’hiver.

Sa fille la belle princesse tait d’une gnrosit lgendaire et souvent venait rendre visite au
« petit Tom » en lui apportant des friandises, des oranges, du pain d’pices.

Cette fois-ci elle est venue pour inviter toute la famille  assister la messe de minuit dans la chapelle du chteau.

Dans la nuit froide et sombre les pas crissent sous la neige, seule la lueur des lanternes donne vie au paysage.
De loin on entend les chants, «  petit Tom » et toute sa famille  se dpchent de peur d’arriver en retard et subir le courroux du seigneur des lieux.

Les yeux merveills arrivs dans la chapelle ils regardent la crche vivante, magnifique, les brebis, l’ne, le bœuf, Marie, Joseph et le petit enfant emmaillot et couch dans la paille.

Le papa prend « petit Tom » dans ses bras et s’approche de la crche.

Petit Tom sent une douce chaleur l’envahir et demande son papa de le poser par terre.

Et voil que le miracle de Nol se produit, il s’avance lentement, la belle princesse lui tend les bras, l’embrasse…

Petit Tom marche… »

Conte de Nol...

Les vignes du seigneur...

Orschwihr 27/11/2004

 

Le ciel paraissait clment, quelques ples rayons de soleil et une envie de promenade dans les vignes du seigneur.
Habitant une vingtaine de kilomtres de la route des grands crus des vins d’Alsace qui mne de Guebwiller Colmar, je me suis laisse prendre au jeu de regarder ces paysages avec des yeux neufs, comme si j’tais une touriste la dcouverte de nouvelles sensations.

Je dois avouer que ces villages parcourus, au pied des Vosges, les vignes s’tageant en coteaux, les glises romanes les ponctuant, les chteaux moyengeux menant la garde, sont d’une beaut saisissante.
Les maisons colombages, oriels, balcons de bois aux moulures torsades ou la croix de saint Jean, les  portes et  fentres ceintures de grs rose, et cette ambiance de Nol qui commence se faire sentir.
Fentres dcores, couronnes de l’Avent aux portes, march de Nol pour quelques villages offrent au regard des tincelles de joie d’enfant.

Mais le but inavou de la balade tait l’acquisition de quelques bonnes bouteilles de ce vin dor.

Visite des caves de mes viticulteurs prfrs, dgustation dans une ambiance de « winstub », murs recouverts de bois blond, mobilier alsacien, armoires peintes, chaises bretzel…

Je me suis laisse tenter par un Gewürztraminer grand cru "Goldert", un riesling " Pfingstberg " un tokay pinot gris, et puis un divin "vendanges tardives" tokay pinot gris qui accompagnera le foie gras du rveillon.
Et pour vraiment vous mettre l’eau la bouche un " grains nobles " de toute beaut.

J’avais envie de vous montrer ces paysages, ces villages en faisant quelques photos, mais la nuit tombe vite…ce sera pour une autre fois…

 

Je vous donne mes deux adresses

Orschwihr  68500          Lucien Albrecht

Gueberschwihr 68420   Annick et Michel Scherb

Les vignes du seigneur...

Se souvenir...dialogue de film...

                                                      Marseille 09/2004

En rponse la note de http://samantdi.free.fr/blog/index.php du 26/11...

voici mon dialogue de film...

 

J’ai revu avec un plaisir ingal le film de Gudiguian
« Marie-Jo et ses deux amours »

 

Qui pose le problme de la fidlit.

Peinture de corps nus et de marines superbes, Marseille majestueuse, sublim par une lumire, un soleil noir et radieux crase le littoral tandis qu’une lumire douce et crpusculaire caresse le corps de Marie-Jo et de ses hommes.

Histoire simple et bouleversante, tragdie sentimentale sche et calme. Pas de meurtre antique, mais une violence qui irrigue chaque plan sans clater, comme une voile tendue l’extrme tout prs de se dchirer.

L’affrontement de personnages ordinaires transforms par la violence et la puret en hros ternels. La passion c’est cela et pas autre chose.

« On est tellement fort d’aimer quelqu’un, mais on est tellement faible d’en aimer deux »

Pudeur, tendresse infinie, souffrances secrtes, blessure des non-dits.

Frontire que  spare la joie ressentie dans l’amour inconditionnel et le dsespoir qui accompagne l’inluctable jalousie, avec son cortge de douleur et de culpabilit.

 

Je suis particulirement mue par un passage où  Marie-Jo accoude la fentre, vue sur un paysage splendide de mer, de bateaux, la messe en ut mineur de Mozart en fond musical accompagne ce dialogue avec un vieil homme malade qui n’attend plus rien de la vie…

Je ne sais pas où aller…

Je ne sais pas quoi faire…

Je peux vous parler ?

Vous comprenez, il faut que je parle quelqu’un qui puisse comprendre, vous savez c’est une belle et grande histoire…

Marie-Jo

Vous tes ravissante et ce vieux rose s’accorde bien avec vos cheveux

J’ai connu une femme qui avait les mmes cheveux  que vous

Je me souviens, j’aime beaucoup les souvenirs, et pour m’y aider je bois, la magie du vin me permet de replonger dans mon pass

Ennui, ennui, ennui, j’ouvre une bouteille et je me souviens

Marie-Jo je ne peux pas me charger de votre histoire

Gardez-la, gardez-la pour plus tard, beaucoup plus tard…

Quand elle se sera transforme en souvenir

Elle vous aidera attendre…

Attendre que la nuit tombe…

                                 note dj poste le 8 juillet

 

Se souvenir...dialogue de film...

Merci !!!

Merci !!!

26 novembre...

6ans30ans
                                                 ( oui j'aime rire...)

Entre les photos, les annes ont pass

De l’insouciance de l’enfance en passant par la rvolte de l’adolescence

Me voil l’ge mûr, soi-disant ge où les rves n’ont plus cours…

Mais la rvolte est toujours prsente et les rves ne m’ont pas quitte.

Alors levons le verre de l’amiti, cette remmoration du jour de ma naissance….

 

26 novembre  ….

                                      quelques annes plus tard....

26 novembre...

Demain...

Demain, je vous invite dans mon univers venir boire le verre de l’amiti.
J’aime partager.

Alors si l’envie vous prend de vous mettre au piano et de jouer quelques notes pas de problme

Si vous avez envie de chanter, pas de problme

Si vous avez envie de danser, je pousserai les meubles, pas de problme

Si vous avez envie de jouer au solitaire ou aux checs pas de problme

Si vous avez envie de vous baigner, l problme, temprature de l’eau 6 degrs

Si vous avez tout simplement envie de trinquer avec moi, ce sera avec grand plaisir

Car demain je prends un an de plus…

Demain...

Doute...

Que faire quand l’inspiration manque, se taire,
se terrer au plus profond de soi-mme
ou laisser sourdre les mots sans intrt
qui viennent l’esprit,
mais qui sont dlivrance dans un moment de doute ?


Citation

La philosophie n’est peut-tre que l’art d’ensevelir nos doutes
sous une avalanche de mots…
                  
                    E. Coderre
                                 Jean Narrache  chez le diable...

Doute...

Le poulet... rflexion philosophique...

La scne : un poulet au bord d'une route. Il la  traverse.
La question : pourquoi le poulet a-t-il travers la route 
 Les rponses, c'est en fonction de  l'interlocuteur :
> >
> > REN  DESCARTES : Pour aller de l'autre ct.
> >
> > PLATON : Pour son  bien. De l'autre ct est le Vrai.
> >
> > ARISTOTE : C'est la  nature du poulet de traverser les routes.
> >
> > KARL MARX : C’tait historiquement invitable.
> >
> > CAPITAINE JAMES T. KIRK : Pour aller l où aucun autre poulet
> > n'tait all auparavant.
> >
> > HIPPOCRATE : En raison d'un excs de scrtion de son
> >  pancras.
> >
> > MARTIN LUTHER KING JR. : J'ai la vision d'un monde  où tous les
> > poulets seraient libres de traverser la route sans avoir 
> > justifier leur acte.
> >
> > MOISE : Et Dieu descendit du  paradis et Il dit au poulet : "
> > Tu dois traverser La route". Et le  poulet traversa la route et
> > Dieu dit que cela tait bon.
> >
> > RICHARD M. NIXON : Le poulet n'a pas travers la route, je
> >  rpte, le poulet n'a JAMAIS travers la route.
> >
> > NICOLAS  MACHIAVEL : L'vnement important c'est que le poulet
> > ait travers la  route. Qui se fiche de savoir pourquoi ? La
> > fin en soi de traverser  la route justifie tout motif quel
> > qu'il soit.
> >
> >  SIGMUND FREUD : Le fait que vous vous proccupiez du fait que
> > le  poulet ait travers la route rvle votre fort sentiment
> > d'inscurit  sexuelle latente.
> >
> > BILL GATES : Nous venons justement de  mettre au point le
> > nouveau Poulet Office 2004", qui ne se contentera  pas
> > seulement de traverser les routes, mais couvera aussi des
> > oeufs, classera vos dossiers importants, etc...
> >
> >  BOUDDHA : Poser cette question renie votre propre nature de
> > poulet.
> >
> > GALILEE : Et pourtant, il traverse.
> >
> > ERIC  CANTONA : Le poulet, il est libre le poulet. Les routes,
> > quand il  veut il les traverse.

> > JACQUES CHIRAC : Parce que je n'ai pas encore  dissous la  route.
> >
> > L'EGLISE DE SCIENTOLOGIE : La raison  est en vous, mais vous ne
> > le savez pas encore. Moyennant la modique  somme de 10 000  Euros
> > par sance, plus la location d'un  dtecteur de mensonges, une
> > analyse psychologique nous permettra de  la dcouvrir.
> >
> > BILL CLINTON : Je jure sur la constitution  qu'il ne s'est rien
> pass entre ce poulet et moi.

> >  EINSTEIN : Le fait que ce soit le poulet qui traverse la route
> ou que ce  soit la route qui se meuve sous le poulet dpend  uniquement de
> votre  rfrentiel.

> > ZEN : Le poulet peut vainement traverser la route,  seul le
> Matre connat le bruit de son ombre derrire le mur.
> >
> > JEAN-PIERRE RAFFARIN : Le poulet n'a pas encore travers la route,
> mais le gouvernement y travaille.
> >
> > JEAN ALESI : Je ne  comprends pas, thoriquement, le poulet il
> avait le temps de passer.
> >
> > NELSON MONTFORT : J'ai ct de moi l'extraordinaire poulet
> > qui a russi le formidable exploit de traverser cette superbe
> > route:" Why did you cross the road ? "" Cot cot !""eh bien il
> > dit qu'il est extrmement fier d'avoir russi ce challenge, ce
> > dfi, cet exploit. C'tait une traverse trs dure, mais il
> >  s'est accroch, et..."
> >
> > RICHARD VIRENQUE : C'tait pas un  lapin ?
> >
> > ORANGINA ROUGE : PaskeeeeeeuuuuuhhhhKEN
> >
> > FOREST GUMP : Cours poulet cours !!!
> >
> > STALINE : le  poulet devra tre fusill sur le champ, ainsi que
> tous les tmoins de la  scne et 10 autres personnes prises au  hasard,
> pour n'avoir pas empch  cet acte subversif.
> >
> > GEORGE W. BUSH : Le fait que le poulet  ait pu traverser cette
> route en toute impunit malgr les rsolutions de  l'ONU  reprsente un
> affront la dmocratie, la libert,   la
> justice. Ceci prouve indubitablement que nous aurions dû  dj
> bombarder cette route depuis longtemps. Dans le but d'assurer   la paix
> dans cette rgion, et pour viter que les valeurs que  nous  dfendons ne
> soient une fois de plus bafoues par ce  genre de  terrorisme, le
> gouvernement des Etats-Unis d'Amrique  a dcid d'envoyer  17
> porte-avions, 46 destroyers 154  croiseurs, appuys au sol par 243 000
> G.I. et dans les airs  par 846 bombardiers, qui auront pour mission au
> nom de la  libert et de la dmocratie, d'liminer toute trace de  vie
> dans les poulaillers 5000 km la ronde, puis de s'assurer   par des
> tirs de missiles biens cibls, que tout ce qui  ressemble de prs  ou de
> loin un poulailler soit rduit un  tas de cendres et ne puisse  plus
> dfier notre nation par son  arrogance. Nous avons dcid  qu'ensuite,  ce
> pays sera gnreusement pris en charge par notre   gouvernement, qui
> rebtira des poulaillers suivant les normes  de  scurit en vigueur, avec
> leur tte, un coq
> dmocratiquement lu  par l'ambassadeur des Etats Unis. En
> financement de ces reconstructions,  nous nous contenterons du  contrle
> total de la production cralire de  la rgion  pendant 30 ans, sachant
> que les habitants locaux  bnficieront  d'un tarif prfrentiel sur une
> partie de cette  production, en  change de leur totale coopration. Dans
> ce nouveau pays  de  justice, de paix et de libert, nous pouvons vous
> assurer  que
> plus jamais un poulet ne tentera  de traverser une route,  pour la
> simple bonne raison, qu'il n'y  aura plus de routes, et que les  poulets
> n'aurons plus de  pattes.
> Que Dieu bnisse  l'Amrique.

Avez-vous des gens rajouter?

Et vous qu'auriez-vous dit sur le poulet ?

je remercie la personne qui m'a adress ce matin cette question fondamentale...de prise de conscience sur le poulet...

Le poulet... rflexion philosophique...

Balade …

21/11/2004

A deux pas de chez moi un chemin de terre conduit vers la fort.
Les champs labours, la terre en mottes attend le gel pour se dliter.
Les Vosges et la Fort-Noire tout de blanc vtus donnent une dimension majestueuse au paysage.
Quelques timides rayons de soleil rchauffent ce
froid et triste dimanche de novembre.
Au dtour du chemin cette rencontre insolite
me donne la sensation d'avoir t attendue !

 

Balade …

Le masque...

photo Diane Arbus       (photocopie)

Travail en atelier d’criture partir de la photo ci-contre
(non ce n’est pas moi…) fiction !!!

 

Cette invitation tombe pic, la grisaille parisienne  je ne la supporte plus, cela me fera du bien de changer d’air dfaut de changer de peau.

Mes billets sont prts, c’est la premire fois que je vais ce genre de soire  libertine et de plus Venise.

Le masque est de rigueur, heureusement !

Devant le miroir, je scrute ce corps qui me fait tant souffrir.

Mon imagination se met en route, il va falloir choisir les vtements, quelques achats dans mes boutiques favorites et me voil prt.

Aprs peine une heure de vol, je flne dans les venelles de Venise, j’ai repr l’endroit où se passe la soire. Une belle btisse au bord du grand canal, la brume de ce mois de novembre rend cette ville irrelle et ferique.

La peur me gagne, j’ai envie de renoncer, cela va tre difficile pour moi d’affronter le regard des autres. Ce masque de tulle rebrod de perles, orn de roses blanches rendra ce moment plus facile.
Mon regard pourra aller sa guise cach de si belle manire.Et cette robe bustier au drap de soie fait ressortir l’clat de ma peau, ce corps, ce pige où si souvent les hommes se sont laisss prendre.

J’ai peur et en mme temps le dsir de sduire, de jouer, de tricher encore sont bien l.

Toute ma vie vais-je continuer ainsi ?

Ce visage aux traits si durs et masculins, ce corps de femme la poitrine opulente, mes yeux, ma bouche, les rides sur mon front, ce regard dpourvu de douceur et cette expression cynique font de moi ce travesti, cet homme qui voudrait crier sa douleur mais se retient.

Pourquoi ne suis-je pas comme tout le monde ?

 

 

 

 

 

Le masque...

On fait quoi ?...

Voutch

-Top ! Ca y est, je suis rest deux minutes sans

rien faire du tout. Et maintenant, on fait quoi ?

 

Bon dimanche, et comme le temps perdu ne se rattrape jamais alors continuons ne rien faire...

On fait quoi ?...

Le courrier...

                                         Adrar de Mauritanie

Au-dehors les flocons blancs tombent et la magie opre. Les yeux s’merveillent devant ce spectacle ferique comme ceux des enfants.

Arrive du courrier, moment de surprise que j’aime, j’attends je ne sais quoi et parfois l aussi la magie opre.

Aujourd’hui c’est le sable chaud qui pntre dans la maison. Tout ce chemin parcouru par une carte d’un pays lointain où les grains de sable remplacent les flocons, où la chaleur remplace le froid.
Merci pour ces mots qui tombent pic pour me rchauffer le cœur.
Je pars dans mes rves de prince du dsert,
d’homme bleu, de moment de partage autour du th brûlant regarder les toiles.
A me raconter des histoires…

Ce soir j’ai envie de revoir «  Un th au Sahara » et de me laisser bercer par ces images et cette   musique envoûtantes…

 

" Ce qui embellit le dsert c'est qu'il cache un puits quelque part "

                                                                    Antoine de Saint  Exupry

Le courrier...

Rver...

Klimt 
           "Le Thtre de Taormina"  1886-1888
plafond de l'escalier du Burgtheater de Vienne

Il y a la vie que je  rve

Il y a la vie que je vis

Ah si je pouvais donner rendez-vous mes rves

Ils viennent me rendre visite quand ils en ont envie

Et pas quand j’en ai besoin

Je suis faite de l’toffe de mes rves

Part indispensable pour construire le rel

Et si mon futur appartenait

A la beaut de mes rves ?…

 

Rver...

La perfection...humour...

Je vois qu'aujourd'hui vous n'avez pas envie de rflexion srieuse, je viens d'avoir un mail avec ce texte, je vous le livre tel quel...

La perfection


Il tait une fois un homme parfait et une femme parfaite qui se rencontrrent. Aprs s'tre fait la cour, ils se marirent.
Leur union tait bien sûr parfaite.

Une nuit de rveillon de Nol, ce couple parfait conduisait sa voiture parfaite le long d'une route dserte lorsqu'ils remarqurent quelqu'un en dtresse sur le bord de la route.

tant parfaits, ils s'arrtrent pour donner leur aide.
La personne en dtresse tait le Pre Nol, avec sa hotte remplie de cadeaux. Ne voulant pas que des milliers d'enfants soient dus une veille de Nol, le couple
parfait prit le Pre Nol et ses jouets bord de la voiture parfaite et l'accompagnrent pour la distribution des cadeaux.

Malheureusement, cause du mauvais temps, le couple parfait et le Pre Nol eurent un accident. Seulement l'un d'entre eux  survcut  cet  accident.



                                        Lequel ?


                           (Voir la solution ci-dessous.)








                              Continuez de descendre.







                         La femme parfaite a survcu !!!!.



En fait, c'est la seule personne de cette histoire qui existe vraiment.
Tout le monde sait bien que le Pre Nol et l'homme parfait n'existent pas.



NB: Les femmes s'arrtent de lire partir d'ici, c'est la fin de la blague.
Les hommes peuvent continuer.








                              Continuez de descendre











                       (seulement les hommes , j'ai dit !!!!)








Donc, si le Pre Nol n'existe pas, pas plus d'ailleurs que l'homme parfait, la femme devait forcment conduire... ce qui explique l'accident.









                              Encore un peu plus bas












D'autre part, si vous tes une femme et que vous tes en train de lire ceci, nous sommes en train d'illustrer une autre vrit :
               Les femmes n'coutent jamais ce qu'on leur dit !



                                        FIN!!!!

La perfection...humour...

fragments verticaux ...

Chagall  Eau-forte

                     "Celui qui dit des choses sans rien dire"

J’ai relu les «  fragments verticaux « de Roberto Juarroz et voil ma rflexion du jour…

Aprs le fte un peu de srieux pour quilibrer le mouvement  perptuel de la vie.

 

"L’amour ne se consomme jamais. Avant sa consommation suppose, parce que quelque chose manque. Aprs, parce que quelque chose est de trop, et qu’tre de trop est une autre manire de manquer. L’instant de son apparente consommation n’est qu’un vertige fugitif, un clair fantomatique qui superpose l’approche et l’loignement, le plein et le vide. Un point qui s’efface l’instant mme de le placer. Il ne reste que le souvenir d’une possibilit qui paraissait ralisable.
En consquence, nous appelons consommation ce qui est une perte. Peut-tre une perte ncessaire.
Ou peut-tre pas."

 

 

 

fragments verticaux ...

Jour de fte...

17/11/2004

Pourquoi j’attache tant d’importance ce jour qui  n’est qu’un jour comme un autre.
Tout simplement ,parce que  de toute mon enfance et  adolescence les souvenirs lis cette journe tiennent le haut du pav.

Baigne par la vie des saints, mre trs pratiquante, ducation chez les « bonnes sœurs »
(ouf !  je m’en suis libre...)
Sainte Elisabeth de Hongrie que l’on vnre aujourd’hui,
"Elisanne" tant la contraction de mes deux prnoms Elisabeth + Anne,

m’a toujours sduite par cette gnrosit qui manait d’elle, (interprtation de ma lecture), elle a t un exemple pour  moi.
Bien sûr je sais que le don gratuit n’existe pas, mais le plaisir de donner est souvent suprieur celui de recevoir…

Alors aujourd’hui jour de fte, jour de souvenirs de joies et de peines mlangs.

                                        "  CHAMPAGNE " 
que j’ai envie de partager avec VOUS !!!

 

J’aime les bulles qui font rosir mes joues et voir la vie en technicolor…

 

                                       TCHINN TCHINN..

                                       PROSIT..

                                       SALUTE…

                                       En Poslki   SZAMPA…


et dire que l'on va trinquer nouveau dans neuf jours...sant...

 

Jour de fte...

Il suffit parfois

Il suffit parfois de si peu de choses

Quelques mots « dits »
Quelques rires

Et la vie repart de plus belle

Alors que d’autres mots
Engendrent des larmes
Ambivalence, quilibre instable

Entre joie et tristesse

Combien d’angoisse faut-il dtruire

Pour un sourire, pour une larme

Ainsi inexorablement au fil des jours

Le temps passe, laissant des traces

Il faudrait arrter le temps
Ouvrir un trou pour s’y blottir

Et faire natre un espace nouveau

A la mesure du prsent.

 

 

                   "La srnit rside toujours fleur de peau"

 

                                                 Citation de Marc Gendron

 

Il suffit parfois

Dlire...

Au loin dj je vis la tour où Anne attendait le cœur battant que je vienne la dlivrer.

Elle avait peur, elle venait d’ouvrir la septime porte… et avait dcouvert l’innommable.

Je sais mon frre, vous n’tes pas l’homme barbare tel qu’on vous dcouvre dans les livres d’histoire …

Souvent tort on vous a attribu tous ces meurtres, alors que moi, votre sœur, dans l’ombre j’ouvrais ces portes par jalousie.

Vous les choisissiez toujours trop belles, plus belles que moi. Vous les faisiez rire, vous les enivriez avec vos mots, et moi je n’tais que l’ombre de moi-mme.

Pas un regard, pas un mot gentil …

Vous souvenez-vous de la dernire, elle aussi a ouvert la porte, mais ce que vous ne savez pas, c’est que c’est moi qui l’ai incite l’ouvrir et dcouvrir ce qui sera sa perte.

Combien de fois ai-je jou ce jeu cruel…

Chaque fois…sept fois…

Vous ne compreniez pas…mais pourquoi m’avez-vous confi la cl ?

Pourquoi vous ai-je vu si souvent dans vos bats amoureux !

Moi qui suis si seule cause de vous. Personne ne m’approche tant vous tes craint !

Au fur et mesure, cette lgende est devenue sur la place publique une histoire folle et meurtrire.

Alors aujourd’hui, je suis venue dlivrer Anne, le remords me gagne, et celle-l je veux la garder pour  ‘Moi’

Voil mon cher frre, vous Barbe Bleue, la terreur de ces lieux aux yeux de tous…

Vous n’tes qu’un sot manipul outrance par votre sœur…

 

 

Petit dlire impos en atelier d’criture par le choix d’un personnage, tre sa sœur ou son frre et commettre les mfaits sa place…

Dlire...

Les Pieds Nickels...

Les" Pieds Nickels"...
Filochard, Ribouldingue, Croquignol...

 

Aprs un repas bien arros entre amis trs chers, me voil promue dans le royaume de l'amour...

Prsidente
Premier ministre
Et ministre des "Affaires trangres"...

Etrangre

Etre trange, tre moi, tre toutes les facettes
entre norme et folie

ETRE...

Les Pieds Nickels...

Cauchemar...ce n'est pas une fiction

COPAN HONDURAS

Atelier d'criture

En partant d’une photo impose (une jeune femme) situer le rcit 2 mois avant la photo en commenant par « Je me souviens » terminer par « cette fois c’est fini» et situer l’action qui où quand pourquoi. ?

 

 

 

Je me souviens de cette jeune fille avec son accent si particulier, elle travaillait dans l’agence de voyages que je frquentais l’poque, oh cette poque n’est pas si lointaine, il y a deux mois peine et depuis, que d’vnements………

Donc j’entre dans cette agence la recherche d’un voyage avec quelques ides en tte mais aucune notion de prix. Je voulais raliser un vieux rve, partir en Amrique Centrale au pays des Mayas, aller au Guatemala et au Honduras la rencontre  de cette peuplade qui depuis toujours m’a fascine et effraye en mme temps.

La jeune femme de l’agence me donna tous les renseignements, me posa des questions sur le type d’hbergement, aprs une heure passe ensemble tout fut dcid.

Quelques jours plus tard me voil dans l’avion, je survole l’Ocan Atlantique, premire escale Dallas.
L’image des Amricains mangeant partout et tout le temps n’est pas usurpe.

Puis, nouveau dans un avion qui m’emmne Guatemala Ciudad, atterrissage impressionnant l’aroport se trouvant en pleine ville, les ailes de l’avion frlant «  presque » les maisons basses alentour.

 

Les dix premiers jours j’allais de dcouverte en dcouverte, les paysages fabuleux, les marchs trs colors, les villages où l’on se croirait au Moyen Age, les hommes portant des jupes, les femmes belles avec leurs  cheveux noirs et tous ces tissus colors en guise de vtements, le Rio Dulce sur lequel je naviguais vers la mer des Carabes, les mangroves, dommage, je n’ai pas vu de lamantin, il en existe encore dans ce fleuve…

Tous ces beaux souvenirs pour arriver la fin de l’aventure qui se termina par une vraie aventure.

 

Sur la piste, en pleine fort vierge ,qui devait me mener sur un site Maya assez retir, aprs peine une vingtaine de kilomtres, mes compagnons de voyage  et moi fûmes arrts par deux bandits de grand chemin, pistolet et mitraillette l’paule. Pendant une demi-heure, mais le temps n’existe pas dans ces moments- l, j’avais le pistolet sur la tempe, j’ai t dvalise, argent, appareil photos, bijoux, montre, chaussures jusqu’aux lunettes de soleil, il fallait donner pour rester en vie…

Ce qui fut vraiment lamentable c’est l’accueil des policiers couchs dans leur hamac rigolant, et puis il fallut dresser le procs verbal que j’ai gard prcieusement, mme si cela fut un triste souvenir. Cette journe se termina au bord de la piscine de l’htel le cœur n’y tant plus et le lendemain qui devait tre l’apothose du voyage Tikal, se droula bien tristement.

Cette fois c’est fini, l’aventure c’est l’aventure ! Maintenant je prfre des coins plus paisibles, fini les rves trop lointains, le danger , non, je n’en veux plus d’autant plus que j’ai appris entre temps qu’un Italien avait t tu sur cette mme piste huit jours auparavant.

Je suis retourne voir la jeune femme de l’agence qui bien sûr n’y tait  pour rien, et nous avons russi ensemble faire retirer du catalogue du voyagiste cette journe d’excursion Ceibal.
Vraiment cette fois c’est bien fini !

 

 

 

 

Cauchemar...ce n'est pas une fiction

cancers de la tendresse...

Impatience
exigeance
frustration
les cancers de la tendresse

attentes trop vivaces
attentes perdues
la violence
des demandes               

Car le temps tre
le temps natre
ne se reconstruit jamais  
                                                        J.S

cancers de la tendresse...