" Il est des rencontres fertiles qui valent bien des aurores" René Char
L'ombre d'un homme qui marche au soleil
anime ces calades,
ces vieilles maisons,
ces fontaines
son château
Invitation au voyage des mots, de la lecture,
à l’heure du thé.
Emotion discrète au détour d’une venelle,
la maison,
sa maison
" Lourmarin.
Premier soir après tant d’années. La première étoile au-dessus du Lubéron, l’énorme silence, le cyprès dont l’extrémité frissonne au fond de ma fatigue.
Pays solennel et austère , malgré sa beauté bouleversante. "
Carnets, 1935-1948, OCII, page 1067