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15/10/2015

Commentaires

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Amx

Safar saïd....ce qui se traduit...:." voyage...bon ! " ....
Inch'allah....
Bon vent !

mélanite

Quel texte ! je te regarde à travers les mots de Camus, l'enfance et la vie qui revient comme une vague encore et encore, ton sourire d'été invincible, je te souhaite une grande folie et une belle lumière. A bientôt Elisanne.

double je

Merci, sincèrement et de tout coeur.

(shukraan lak , bisidq wa'iikhlas ?)

double je

Merci, de si bien me comprendre, les mots de Camus expriment ce que je ressens.
"La lumière jaillira" chantait Brel...
A bientôt Claire !

Pondichéry

Puis je ajouter quelques lignes de Camus à votre citation:

"Les vagues viennent de l’Est invisible, une à une, patiemment; elles arrivent jusqu’à nous et, patiemment, repartent vers l’Ouest inconnu, une à une. Long cheminement, jamais commencé, jamais achevé…La rivière et le fleuve passent, la mer passe et demeure. C’est ainsi qu’il faudrait aimer, fidèle et fugitif."

A . Camus

arletteart

Les belles lectures résonnent souvent ainsi en nous ... Que vos jours soient lumineux et paisibles même avec ce petit vent frisquet
Amicalement Arlette

Christine

Belles retrouvailles avec toi-même Elisanne...il n'est pas de plus beau pays !
Je t'embrasse...Ne vois tu pas déjà le petit chemin qui sent la noisette se profiler en pente douce ?

(Essaie de voir un jour ce très beau film de Barbet Schroeder,
hymne à la beauté des rivages méditerranéens tourné dans la "vraie"
Ibiza : "AMNÉSIA" avec Marthe Keller...)
Bises...

Christine

Cadeau......
Léo et Bernard...

http://www.youtube.com/watch?v=uXAbkyIngycfeature=youtube_gdata_player

Christine

...."J’épouse la mer.

A minuit, seul sur le rivage. Attendre encore, et je partirai. Le ciel lui-même est en panne, avec toutes ses étoiles, comme ces paquebots couverts de feux qui, à cette heure même, dans le monde entier, illuminent les eaux sombres des ports. L’espace et le silence pèsent d’un seul poids sur le cœur. Un brusque amour, une grande œuvre, un acte décisif, une pensée qui transfigure, à certains moments donnent la même intolérable anxiété, doublée d’un attrait irrésistible. Délicieuse angoisse d’être, proximité exquise d’un danger dont nous ne connaissons pas le nom, vivre, alors, est-ce courir à sa perte ?

A nouveau, sans répit, courons à notre perte."

Belles vacances Elisanne que je te souhaite
ensoleillées.....! ♡

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