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24/07/2015

Commentaires

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Christine

Qu'il était doux le temps où l'on prenait le temps..
d'aller acheter des blocs de papier Vélin d'Angoulême, parfumés ou non, doublés de soie ou non, que l'on choisissait bleu, beige ou parme selon la "qualité" du récipiendaire.
Il était doux le temps où l'on choisissait la pièce.. l'ensoleillement et l'heure, pour cacheter ou décacheter une lettre selon  le contenu que l'on espérait pouvoir lire.
Le "virtuel" a pris le pas sur tous ces moments de poésie tellement vite, que l'on est plus très sûrs de les avoir vécus.

Il nous reste la poésie, la vrai, celle de René Arthur ou Victor, celle qui fera date pour apaiser nos maux.

Bises Elisanne et belle journée.

double je

oui, comme il était doux ce temps là !
Maintenant tout va trop vite, un clic de souris et tout s'efface, plus de trace, un pan de vie entier peut disparaître...des années de correspondance virtuelle, regrets, parfois, juste un petit pincement au coeur!
heureusement que nous reste la poésie...
bises Christine et avec un jour de retard "bonne fête"

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